«Je voulais garder le lien avec ma culture d'origine», confie Olivia, adoptée par une famille tarnaise qui a toujours gardé le lien avec sa famille adoptive. Dans ses cours données à la maison des associations de
Brens, elle propose d'apprendre cette danse polynésienne et de redécouvrir cette culture à travers des ateliers culinaires revisitant des recettes de son pays de naissance : le ma'a tinto ou la spécialité du pays : le four polynésien ahi ma'a.
Des plats cuits dans la terre, recouverts de feuilles de bananes selon la coutume traditionnelle. Ils
confectionnent aussi dans ses ateliers des costumes en fibres naturelles polynésiennes. Dans le Tarn, c'est à Castres où se concentre la plus grande communauté de Polynésiens.