ori tahiti  /  Team marara va'a

ORI TAHITI est la section danse du TEAM MARARA VA'A

L’association Team Marara Va’a comprend deux pôles : Va’a, les pirogues et Ori Tahiti, la danse.

Réunis en assemblée générale, samedi 21 novembre 2021, salle Ti ar Barrez, les adhérents ont élu un nouveau bureau Va’a. Malgré les conditions sanitaires et la baisse d’effectif en 2020, Team Marara Va’a avait pu organiser, en juin, à Kerobistin, la Te Aïto, un sélectif national, avec 200 participants venus de toute la France. « En 2021, Team Marara Va’a a vu son nombre d’adhérents augmenter de 37 à 43 et Ori Tahiti s’est relancé avec 14 adhérents », précisent les secrétaires. « Les activités 2022 se mettent en place avec plusieurs grandes courses françaises : les préparations ont commencé pour la Dordogne Intégrale (130 km en une journée), la Vendée Va’a (128 km en mer répartis en trois jours), la Loire 725 (725 km sur la Loire en une semaine). Il faudra aussi compter sur le championnat de France, ses sélectifs et toutes les sorties loisirs à venir ».



  •   La presse en parle 


Mais qu'est ce qui pousse les Bretonnes Claire Étienne et Fanny Lastennet à préférer la couronne de fleurs à la coiffe ?

Samedi, les visiteurs du Forum des activités ont pu découvrir l'association Ori Tahiti. Certes, ils ont été nombreux à regretter l'absence de démonstration mais le sourire des danseuses polynésiennes a largement comblé cette lacune.
Ori Tahiti est la section danse de l'association de rameurs Team Marara Va'a, créée il y a cinq ans, par Apehau Tching Piou, à Combrit. Tandis que les hommes sont sur la pirogue, les femmes dansent, c'est bien connu. « Que nenni ! » disent Claire Étienne et Fanny Lastennet. « Ori Tahiti est composé d'une trentaine d'enfants, de femmes et d'un homme. Un autre pourrait nous rejoindre à court terme ». Le grand public est peu au fait mais la Bretagne est terre polynésienne en matière de traditions. « On retrouve de nombreuses associations dans les villes portuaires, telles Brest ou Lorient car les Polynésiens s'installent dans les ports ». Le communautarisme culturel fait le reste. Mais en Cornouaille, Ori Tahiti se sent un peu seule. « Les danseurs et danseuses viennent des Pays bigouden et fouesnantais, de Concarneau. Les rencontres entre associations sont rares ». L'association organise essentiellement une compétition nationale de pirogue par an. « C'était en juillet ». En parallèle de la course, les danseuses d'Ori Tahiti ont effectué des démonstrations, tandis que les bénévoles ont fait découvrir les spécialités polynésiennes : monoï, poteries... Du côté de Combrit, les cours sont donnés par la Lorientaise Marie Froger à l'espace sportif de Croas Ver. Elle initie ses élèves au célèbre tamouré, aux danses lentes et rapides qui font rêver les métropolitains. « Mais pas seulement. Nous sommes baignés dans la culture polynésienne. Nous apprenons même des bribes de langage pour les déplacements lors des chorégraphies ». Les femmes font elles-mêmes leurs costumes et leurs paréos. « Pas tout à fait, avoue Fanny. Ce sont mes grands-mères qui font les ourlets ». Des costumes que les danseuses endossent à l'occasion. « Sur la base du volontariat, certaines d'entre nous se produisent parfois sur scène ».

 

 

  •   ça s'est bien passé 

 

TE AITO RACE 2016 : Les photos

 

 

 

 

Dernière date de mise à jour de cette page, le mardi 16 mai 2023