
P2V création - MANUREVA TAHITI situé sur l'île de Tahiti vous propose sa gamme de bijoux
entièrement réalisés localement à la main dans nos ateliers. Nous vous vous proposons un grand choix de pièces en nacre, perles de culture,
mabés et keishis. Nous réalisons également à la demande la création de bijoux personnalisés. Tél et Fax : (689) 57 41 81.
Courriel de
contact à Tahiti:
pdevillele@yahoo.fr
Nous avons une représentante
maintenant en France: Bérangere PICASSE : Tel. 06 68 37 52 06
qui connais bien le fenua pour y avoir grandi pas mal d'année et y revient
régulièrement. Elle va représenter nos produits : bijoux en perle , nacre et
mabé , mais aussi la gamme de cosmétiques made in Tahiti: monoï et huile de
Tamanu + pareos et autres belles choses de Tahiti.



Nos prochaines
dates d’exposition à Paris cet hiver
2014/2015 |
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Chers Amis,
Nous avons le
plaisir de vous
informer de nos
prochaines dates
d’exposition à
Paris cet hiver.
Bérangère
Picasse, notre
représentante
France et
nous-même, nous
ferons un
honneur de vous
y accueillir
pour vous
proposer les
joyaux de
Philippe
de Villèle
et les produits
cosmétiques et
la formation d’Isabelle
Trébucq.
Philippe de
Villèle,
perliculteur en
Polynésie est
aussi un
Designer nacrier
et Créateur de
bijoux reconnu
sous sa nouvelle
marque MANUREVA
TAHITI. Chacun
de ses bijoux
unique est
réalisé dans les
règles de l’art
les plus
strictes de la
création de
bijoux et avec
les matériaux
nobles et
luxueux de
Tahiti et ses
îles.
Isabelle Trébucq,
fondatrice de
l’Ecole
Internationale
Tahiti Massage®,
enseigne depuis
de nombreuses
années
différents
protocoles dont
le Massage
Tahitien® qui
est un concept
déposé et unique
au monde. |
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En
étroite
collaboration
avec un
laboratoire
cosmétique
Polynésien,
Isabelle a
élaboré une
gamme de
produits 100%
naturels issue
de l’agriculture
Polynésienne
dont le
Traditionnel
Monoï, l’huile
de Tamanu, les
eaux florales et
les exfoliants.
Cette gamme est
parfaitement
adaptée aux
professionnels
du massage et
aux particuliers
désirant
sublimer leur
peau. Monoï et
paréos vous
charmeront avec
une note
exotique
Polynésienne. |
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Partenaire
de l'Ecole
Internationale
Tahiti Massage®
www.airtahitinui.com
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DATES
D’EXPOSITION
À PARIS
:
Serres
d’Orchidées
Vacherot
et
Lecoufle
29 rue
de
Valenton,
Boissy-Saint-Léger
94
du
vendredi
5 au
dimanche
7
décembre
de 10H00
à 19H00
et du
vendredi
19 au 21
décembre
de
10H00 à
19H00
Délégation
de
Tahiti
28 bld
Saint-Germain
75 005
Paris
du lundi
8 au
samedi
13
décembre
de 10H00
à 17H00
Salon de
la
plongée
Porte de
Versailles,
Paris
expo
du
vendredi
9 au
lundi 12
janvier
2015
Salon
Bien
être,
Médecine
douce et
Thalasso
Porte de
Versailles,
Paris
expo
du jeudi
5 au
lundi 9
février
2015 de
10H30 à
19H00
Congrès
International
d'Esthétique
Aplliquée
Porte de
Versailles,
Paris
expo
Hall 5
du
samedi
28 au
lundi 30
mars
2015
DATE DE
FORMATION
MASSAGE
TAHITIEN®
du 9 au
15 mars
2015 à
Paris |
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Vu dans la presse
Philippe de Villèle : le mabe dans la peau
- Publié le vendredi 29 novembre 2013
Les colliers et boucles d’oreilles en mabe ou perles de Tahiti, signées de
Philippe de Villèle, font d’habitude le bonheur des clients de salon en
métropole, à la Réunion, son île d’origine, en Allemagne ou au Maroc. Pour
la deuxième fois seulement en presque dix ans, cet artisan bijoutier,
installé à Paea, présentera ses œuvres au fenua, durant le Ori Tahiti Nui
solo competition au Méridien, samedi et dimanche. C’est l’occasion de
découvrir le travail d’un orfèvre, au parcours peu banal, à la fois
autodidacte et aventurier, qui a découvert son âme d’artiste sur le tard.
Ce
Créole avait fait d’abord carrière dans la construction navale et les
régates de voilier sur son île natale, La Réunion, à la fin des années 1980.
Puis, pendant six ans, il a dirigé avec un associé une entreprise de poisson
fumé à Mayotte. “J’ai tout vendu parce que j’avais envie de découvrir
Tahiti.” En 1997, il découvre le fenua en espérant créer une nouvelle
entreprise de poisson fumé. Mais il déchante rapidement, s’apercevant que la
place est déjà prise. Plongeur professionnel de classe 2 (il peut descendre
jusqu’à 50 mètres), il tombe alors sous le charme des Tuamotu, et plus
particulièrement de Manihi. “Comme disait Moitessier, raconte Philippe, les
atolls, tu aimes ou tu détestes. Moi, j’ai adoré.” N’ayant peur de rien, et
surtout pas de l’inconnu, il dégote un poste dans une ferme perlière, grâce
à ses aptitudes sous-marines, et apprend le métier sur le tas, aux côtés
d’un biologiste australien et d’un greffeur japonais. Il prend rapidement
des responsabilités et, au bout de deux ans seulement, en 1999, il se sent
les épaules assez larges pour créer sa propre ferme perlière, toujours à
Manihi. Il cultive la perle, mais développe en même temps une production de
mabe. Ingénieux, il utilise la nacre pour se fabriquer des leurres de pêche.
Exceptionnellement, il s’essaye à la création de bijoux, “mais par pur
plaisir”.
Arrive alors “la
grande claque” que prennent tous les perliculteurs en 2004. Philippe décide
alors de réduire sa production pour se concentrer sur la mise en valeur des
perles. “Je n’avais pas le choix, je produisais à perte. Par contre, en
créant et vendant des colliers, je gagnais de l’argent.” Il dessine ses
premiers modèles et les réalise, en pur autodidacte. “J’ai rapidement trouvé
mon style. Je travaille le volume de la nacre, je mets en avant ses couleurs
et ses contrastes”, explique-t-il devant son bureau “des finitions”. Son
travail est exigeant. Alors que la perle est percée, nettoyée et montée en
quelques minutes, le mabe requiert plusieurs heures de préparation : il faut
l’extraire à la meule diamantée, nettoyer la pièce obtenue, la remplir de
résine afin de consolider la matière nacrière, refermer la partie remplie
par un morceau de nacre polie, et la coller à l’époxy. Il reste encore tout
le travail de mise en forme, de ponçage et de lustrage. Seulement 30 % des
mabes sont des pièces parfaites. Parfois les veines de couleur d’une pièce
vont inspirer le bijou, notamment quand Philippe obtient deux mabe quasi
identiques, qui deviendront des boucles d’oreille. Souvent, c’est son
imagination et son coup de crayon qui dicteront la forme et le style du
collier. De temps en temps, c’est le client qui lui passe commande. “J’aime
réaliser la pièce de leur rêve, cela représente environ 5 % de ma
production”, assure-t-il.
Bagues en nacre
jaune avec une monture réglable, colliers articulés en mabe et nacre de
burgo, avec des coutures invisibles, boucles d’oreille en abalone de
Nouvelle-Zélande et nacre bleu turquoise, Philippe de Villèle a prévu de
montrer ses plus belles réalisations, au Méridien, mais également des pièces
plus simples. Chacun pourra se faire plaisir suivant son budget, de 5 000 à
300 000 Fcfp. C’est une occasion qui ne se présente que tous les neuf ans...
K
Dernière date de mise à jour de cette page : le
vendredi 01 avril 2016 |