
Féminité harmonie et
sensualité réunies Le travail de peinture de Patricia Leroux
est à la fois un chant d’harmonie, de couleurs,
d’atmosphères Il s’en dégage une beauté précieuse et une
sensualité généreuse : Patricia fixe ce qu’elle voit, ce
qu’elle sent, l’âme des choses.
Après une période caribéenne
d’où sont nées des toiles aux couleurs chaudes que révèle
une féminité exotique, l’artiste à posé ses pinceaux en
Polynésie en 1999, pour une étape Marquisienne, puis aux
îles de la société.
Si la femme demeure l’élément
d’inspiration presque essentiel de sa peinture, Patricia la
peint à chaque fois avec des couleurs sublimées tout en
osant des matières nouvelles : pastels gras, papiers collés.
La peinture fait partie intégrante de mon existence confie
Patricia. Chaque toile est le fruit d’une expérience de vie. Mon travail ne suit aucune idéologie, je travaille sur
l’émotionnel tout en usant de l’alchimie des matériaux.
Une démarche artistique
simplissime et une quête d’harmonie traduisent le travail
artistique de l’artiste qui n’est animée que par la
recherche de la douceur, de la pureté, une authentique
expression de la beauté à laquelle finalement il n’y a plus
rien à ôter ni à ajouter.
"Je suis restée quelques années en Polynésie et 7 années
en Martinique et travaillé avec la galerie Antipodes sur
Papeete. Aujourd'hui je suis installée à Villeneuvette entre
Montpellier et Béziers et désire faire connaitre mon travail
aux nostalgiques des iles lointaines"
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© 2007 Patricia Leroux -
Contact Information :
Patricia Leroux
Issue d'une famille d'artistes, elle peint tout
naturellement dès l'enfance. Dans son ouvrage, elle confie "qu'au
départ, elle ne pense pas faire de la peinture son métier".
Pourtant, dans les années soixante-dix, elle entame un tour de
France des Beaux arts à Paris, Lille, via l'Angleterre. Peintre
voyageuse, pèlerin en quête d'émotions renouvelées, on la retrouve à
la Martinique, et plus tard en Nouvelle-Calédonie, puis à Bali,
avant de la suivre à Tahiti et aux Marquises.
"La Martinique a été à la fois source d'inspiration et un formidable
tremplin" confie Patricia Leroux qui, lors de son séjour de huit
ans, réalisera plus d'une centaine de toiles de grands formats,
explosée de couleurs et qui ont pour titres "La femme au cochon", ou
encore "Femme alanguie aux pensées angéliques".
En 1999, en quête de couleurs, Patricia Ledoux sillonne le
Pacifique. À Papeete, les galeries l'a convoitent, l'a cherchent.
Mais où est-elle ? Aux Marquises où elle vit le festival des arts à
Nuku Hiva. Comme Gauguin en son temps, elle s'installe à Hiva Oa, où
elle partage l'atelier de Catherine Chavaillon.
La peinture de Patricia Ledoux est sensuelle. Ces personnages, en
majorité des femmes, s'abandonnent à l'élixir tropical baigné d'une
nature dont elle ne retient que l'aspect graphique. Ses compositions
ne sont que la parfaite illustration d'une émotion ressentie et de
sensualité qui caresse les peaux couleur bronze aux senteurs de
coco, de vanille ou de fleur de tiare et santal des polynésiennes.
Mais ce que l'on admire chez Patricia Leroux est cette recherche
incessante de nouvelles techniques, de nouvelles matières ou
coloris. Regardez là peindre ! Avec l'huile, l'acrylique, au pinceau
ou au couteau, parfois a l'aide de collages, d'application de
feuille d'or, même avec les doigts, elle se permet tout... Que dire
encore ? Ses compositions sont suffisamment révélatrices et loquaces
pour ajouter quoi que ce soit d'autre.
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