"L'Île du
rêve" du 6 au 11 décembre 2016
à Paris au
Théâtre de
l'Athénée-Louis Jouvet.
Opéra de
Reynaldo Hahn,
livret
André Alexandre,
Georges Hartmann,
d'après
Pierre Loti
direction musicale
Julien Masmondet
mise en scène
Olivier Dhénin
avec l'
Orchestre du Festival Musiques au pays de Pierre Loti
durée :
1h15 (+ entracte de 20 min)
Tarifs préférentiels :
27€
au lieu de 34€ en 1e catégorie
20€ au lieu de 26€ en 2e catégorie
Réservation au 01 53 05 19 19 du lundi au vendredi de 14h à 19h (sauf le
mardi 18h) ou par mail
à
caisse@athenee-theatre.com en donnant le code promo POLYNESIE
Un livret
d'opéra d'après le roman Le mariage de Loti qui raconte la longue
escale effectuée par Loti à Bora Bora et ses amours éphémères avec Mahenu.
C’est au pied
de la cascade de Fatahua, "dans un bassin d’eau vive entre des roches
sombres tapissées de fougères et de rosiers du Bengale fleuris à profusion" que
se baignent la belle Mahenu et ses compagnes et que commence l’histoire…
Une histoire exotique et sensuelle, celle des amours de l’écrivain voyageur
Pierre Loti, tels que les imagine à 17 ans Reynaldo Hahn. Pas moins exotique
que son modèle, le tout jeune compositeur est né à Caracas d’une mère
vénézuélienne et d’un père juif allemand, et, fréquentant les plus chic
salons, il est devenu aussi parisien qu’on peut l’être.
Coup d’essai magistral, cette “idylle polynésienne en trois actes”
vaudra à l’élève de Massenet les compliments émus de son maître : “Votre
île du rêve, je veux y retourner ! Y retourner vite ! Oh ! C’est beau !
C’est vrai !”
C’est un voyage vers des terres lointaines qui s’offre ici : celles du
Pacifique mais aussi celles d’une œuvre et d’un répertoire passablement
méconnus. Tout ensemble nouvel Éden et paradis perdu, cette île aujourd’hui
redécouverte est riche de mélodies précieuses et ciselées, d’harmonies
délicates, et on y sentira, sous les effluves des fleurs de Bora-Bora,
l’élégance particulière de la musique française de l’aube du XXe siècle.
“Le frisson d'admiration qu’il propage au loin et qui nous fait
trembler, nous courbe tous l’un après l’autre, dans une silencieuse et
solennelle ondulation des blés sous le vent”, écrivait de Reynaldo Hahn
son ami intime Marcel Proust, qui le qualifiait aussi – tout simplement – “d’instrument
de musique de génie”.
Cliquez => ICI
pour télécharger le dossier de presse