nico'o

Nicolas SALSAC qui a découvert le ukulélé il y a une dizaine d 'années alors qu'il était militaire en Polynésie française, est devenu, selon le journal Sud Ouest, un des deux ou trois meilleurs spécialistes dans l'hexagone de cet instrument typiquement polynésien.

 

Débutant cette année 2010 une carrière de musicien professionnel, il est invité à plusieurs festivals dédiés à cet instrument.
Pour Nicolas Salsac, interrogé par le journal Sud Ouest, bien que guitariste confirmé, sa grande révélation a été "le ukulélé et la culture polynésienne".

 

A l’heure actuelle, Nico’o est certainement un des meilleurs joueurs d’ukulele de métropole et cela n’a pas échappé aux professionnels et sommités de la discipline.
Virtuosité, maitrise technique, répertoire complet et ô combien varié, il faut l’écouter jouer pour se rendre compte de son talent.

 

Nico’o est revenu d’Hawaii où il fut invité pour le 40ème festival d’ukulele présentant les meilleurs joueurs mondiaux de ce drôle d’instrument.

 

Voici un extrait d’un de ses morceaux présentés. La musique ne fait pas forcément allusion aux îles, plages, cocotiers et vahine mais les connaisseurs d’ukulele apprécieront la difficulté de l’exercice

  •  contact

    Courriel : nicoouke@gmail.com
    Internet : http://www.myspace.com/nicoo40

    Facebook : http://www.facebook.com/pages/NICOO/

  •  
  •  la presse en parle

    SUD OUEST le 6 avril 2010 06h00 | Par richard picotin


    Nicolas Salsac a découvert l'ukulélé alors qu'il était militaire, en séjour à Tahiti. photo Patrick Bernière
     

    Le coup de foudre de Nicolas Salsac pour l'ukulélé, l'instrument roi des Polynésiens, dont il est l'un des deux ou trois meilleurs spécialistes de l'Hexagone, remonte à l'époque de son premier séjour à Tahiti.

    C'était il y a une dizaine d'années, et Nicolas Salsac, alors militaire, mettait le pied sur l'archipel en compagnie du 1er régiment de marche du Tchad. « Le week-end suivant, je suis allé surfer à Teahupoo et je me suis tout de suite fait des amis tahitiens qui jouaient du ukulélé. Mais, là-bas, tout le monde en joue. Les Tahitiens sont les gens les plus gentils du monde. »

    Nicolas Salsac, qui débute cette année une carrière de musicien professionnel - il est invité à participer à plusieurs festivals dédiés à cet instrument - était déjà un guitariste confirmé. « Je joue de la guitare depuis de nombreuses années. À l'âge de 10 ans, j'avais pris des cours de guitare à Bayonne avec un professeur japonais, Takashi Gagou Iwagami. Je joue en fait de tous les instruments à cordes qui se grattent, y compris de la guitare électrique avec le groupe basque de rock Tiki Lau », confie Nicolas Salsac. « Mais la grande révélation a été pour l'ukulélé et la culture polynésienne. D'ailleurs, je retourne là-bas tous les ans. Et j'ai même tenu un magasin polynésien à Socoa. »

    Nicolas Salsac joue en fait de deux types d'ukulélé. Celui d'Hawaï et celui de Tahiti. L'ukulélé est une petite guitare originaire du Portugal - une « bragihna » - qui a été introduite à Hawaï en 1879 par des Portugais de Madère venus travailler la canne à sucre. L'ukulélé de Tahiti est un peu différent. Il se présente sous la forme d'un instrument à quatre cordes doublées en fil de pêche, taillé dans le bois de coco et disposant d'une caisse de résonance en forme de cône, qui sonne plus fort que la version hawaïenne, seulement équipée de quatre cordes. La technique pour jouer cette musique très rythmique est, paraît-il, très proche de celle du flamenco.

    Grâce à Internet

    Il y a quelques semaines, Nicolas Salsac a enregistré dans les studios Amanita d'Anglet une adaptation personnelle pour ukulélé d'un morceau de Led Zeppelin, qu'il a mise sur une page du site Internet Myspace. « Et quelques jours plus tard, le hasard a fait que c'est tombé dans les oreilles de l'organisateur du festival d'ukulélé de New York qui m'a adressé une invitation pour avril prochain. Puis, dans la foulée, résultat d'un effet boule de neige, j'ai été invité aux festivals de Gloucester et Worthing en Angleterre, à Hawaï, Honolulu et Waikiki, et même à Helsinki. En un petit mois, grâce à Internet, les choses ont pris une tournure étonnante. Si bien que j'ai décidé de commencer cette année une carrière de musicien professionnel. »

  •  ça c'est bien passé

Le 23 septembre au CAVERN - 21 rue Dauphine Paris 6 - Une UKENIGHT exceptionelle

 


Avec Terii et junior TAPUTU

 


La video du final du ukulele festival of great britain

 

 

 

 Cliquez ici =>    pour lire ou laisser un commentaire 

 

Partager cette page sur Facebook

 

Dernière date de mise à jour de cette page, le vendredi 01 avril 2016